Les papillons volent alors que mon coeur sombre
Je me pince, je me noie pour l'éternité
Ils sont là, ils sombre sous moi
Pourtant le sourire ne quitte pas leurs visage
Je sombre, je glisse et ils sourient en bas
Je m'accroche, je trébuche
J'abandonne, je ferme les yeux
Une larme unique coule
Je reste pourtant seule derrière vous
Mes yeux s'ouvrent, mes pensés s'envolent
Je me redresse, je panique
La lumière s'ouvre, les ténèbres partent
Alors seulement je réalise
Que mon cauchemars n'est pas de mourir
Mon cauchemars, c'est de ne pas vous suivre